Les 
                    Hirondelles de Kaboul 
                  Été 
                    1998, Kaboul en ruines est occupée par les talibans. 
                    Mohsen et Zunaira sont jeunes, ils s'aiment profondément. 
                    En dépit de la violence et de la misère quotidienne, 
                    ils veulent croire en l'avenir. Un geste insensé de 
                    Mohsen va faire basculer leurs vies.  | 
               
               
                 
                    Les 
                      Cerfs volants de Kaboul 
                    Hassan, 
                      le fils des domestiques, protège Amir, peureux fils 
                      d'un commerçant de Kaboul. Les deux garçons 
                      sont comme des frères. Mais un jour, au lieu de secourir 
                      son ami agressé, Amir prend la fuite. Cette trahison 
                      résonne avec l'histoire qui se joue au même 
                      moment en Afghanistan : les Soviétiques envahissent 
                      le pays, tandis qu'Amir et son père le quittent. 
                      Vingt ans après, Amir l'exilé reçoit 
                      un appel de son ami Rahim Khan, lui disant qu'il peut encore 
                      réparer ses fautes. 
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                    Parvana, 
                      une enfance en Afghanistan 
                    En 
                      Afghanistan, Parvana grandit auprès d'une famille 
                      aimante. Un jour, le père de la fillette se fait 
                      arrêter pour avoir tenu tête à des Talibans 
                      qui contraôlent le pays. Du haut de ses onze ans, 
                      Parvana décide de travailler pour subvenir aux besoins 
                      de sa famille, mais puisque le travail est interdit aux 
                      femmes, elle se déguise en homme. 
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                    Syngué 
                      sabour. Pierre de patience 
                    À 
                      Kaboul, un héros de guerre gîte dans le coma 
                      et sa femme lui confie ses souvenirs et ses désirs 
                      les plus intimes. 
                      
                    | 
               
               
                |   Dan 
                    Alexe  
                  Cabale 
                    à Kaboul  
                  Cabale 
                    à Kaboul est un film qui aborde d’une manière 
                    inattendue les rapports entre Juifs et Musulmans. Original 
                    par son sujet, le film l’est aussi par sa forme. Narrative 
                    d’abord : le film raconte l’histoire des deux 
                    derniers Juifs d’Afghanistan –Isaac et Zabulon- 
                    et s’articule autour du thème de l’hostilité… 
                    Le vieux Isaac est le sorcier guérisseur de Kaboul. 
                    Juif haut en couleurs, Isaac fabrique des amulettes kabbalistiques 
                    qu’il vend aux Musulmans et chasse les démons 
                    des femmes possédées ou des soldats afghans 
                    fatigués par la guerre. L’autre Juif, Zabulon, 
                    a les mêmes Afghans comme clients… Seulement il 
                    leur vend l’alcool qu’il fabrique en cachette 
                    et qui constitue son gagne pain. Le comble c'est que ces deux 
                    derniers Juifs afghans ne se parlent plus depuis une décennie. 
                    Ils se haïssent même, avec violence. Ils ont divisé 
                    la synagogue en deux, chacun vivant de son côté, 
                    chacun chassant les clients de l’autre. Sans commentaire 
                    off, tourné d’une façon personnelle, monté 
                    comme un drame psychologique et composé d’images 
                    inattendues et de situations cocasses et violentes, Cabale 
                    à Kaboul est un film qui représente tout seul 
                    catégorie à part : une comédie documentaire! 
                     
                   | 
               
               
                |   MARZIYEH 
                    MESHKINI 
                  Chiens 
                    égarés   
                  Deux 
                    enfants, un frère et une sœur, sauvent un chien 
                    égaré dans les rues de Kaboul. Un soir, les 
                    deux enfants se rendent à la prison où est incarcérée 
                    leur mère. N’ayant nul endroit où dormir, 
                    ils sont autorisés à passer la nuit avec elle. 
                    Mais le matin suivant, ils doivent partir : la prison est 
                    un lieu pour les criminels, pas pour les orphelins errants. 
                      | 
               
               
                | L'écrivain 
                  Atiq Rahimi adapte "Terre et cendres"   Afghanistan 
                    mon amour 
                     
                    Tourner dans le Panchir relève de l'exploit. Ici, guerre 
                    et désolation ont façonné les esprits. 
                  « 
                    Toute cette histoire a commencé ici, un jour de 1981, 
                    se souvient Atiq Rahimi. Reporter occasionnel pour un magazine 
                    de Kaboul, je suis venu écrire un article sur la vie 
                    des mineurs de charbon de Pol-e-Khumri. Un matin, sur le pont 
                    qui conduit à la mine, j'aperçois un vieillard 
                    et un enfant. Leurs regards m'ont cloué sur place. 
                    J'ai vu dans leurs yeux toute la catastrophe de la guerre. 
                    J'ai voulu les prendre en photo. Malheureusement, ou peut-être 
                    était-ce un signe, l'appareil n'a pas fonctionné. 
                    Ces deux visages sont restés gravés dans mon 
                    esprit... » De là est né Terre et cendres, 
                    publié chez P.O.L en 2000. L'histoire simple d'un grand-père, 
                    concentré de tradition et d'honneur à l'ancienne, 
                    et de son petit-fils, rendu sourd par la guerre, qui viennent 
                    annoncer au fils, ouvrier dans les mines de charbon, le bombardement 
                    qui a détruit son village et décimé sa 
                    famille.  
                      | 
               
               
                |   A 
                    cinq heures de l'après-midi  
                    Samira Makhmalbaf   
                  « 
                    A cinq heures de l'après-midi essaye de corriger les 
                    fausses informations propagées par le tourbillon frénétique 
                    de la politique et des médias. » Cette déclaration 
                    de Samira Makhmalbaf en dit long sur l'ambition de la réalisatrice. 
                    Par le biais des pérégrinations de Noqreh, elle 
                    montre l'état de l'Afghanistan juste après l'intervention 
                    américaine. Les conflits de génération, 
                    la misère, le manque d'accès à l'information, 
                    l'archaïsme persistant des mentalités mais aussi 
                    la noblesse d'un peuple ressortent de cet opus à la 
                    fois politique et sociologique. L'esthétisme avec lequel 
                    la cinéaste traite son sujet donne un aspect onirique 
                    à ce qui devient un conte doux amer. Les images léchées, 
                    les contrastes soignés, les plans rigoureux, en un 
                    mot la griffe Makhmalbaf, alanguissent les scènes et 
                    font passer du côté de la poésie une œuvre 
                    militante.   | 
               
               
                |   OSAMA 
                    (sortie 
                    en salles le 24 mars 2004) 
                   
                    OSAMA est l'histoire amère et tragique de la pire période 
                    de notre vie, un moment de notre histoire où personne 
                    n'avait le droit de prendre ses propres décisions. 
                    OSAMA est l'histoire de personnes ayant perdu leur identité. 
                    C'est l'histoire d'une peur atroce, de personnes terrifiées 
                    par le son de leur ombre. C'est l'histoire sans fin des femmes 
                    en prison. Et c'est aussi l'histoire d'une petite fille, de 
                    l'injustice et du fanatisme religieux qu'elle doit supporter 
                    sur les épaules.”  
                     
                  
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